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MBOA
24 juillet 2007

TRAITRE OU ACTIVISTE: LE SYSTEME VOUS COMBATTRA.

    arton929

Autant les tenants de l’Apartheid ne demandaient pas aux Autochtones (Noirs) qu’ils tuaient, si les méthodes pour les exterminer leur étaient convenables. La preuve le Docteur Wouten Basson coule de beaux jours on ne sait où. Ils agissaient et seul comptait le résultat de leur action.  

 

    Autant on n’a pas non plus demandé aux Amérindiens de quelle manière, ils souhaitaient être exterminés, pas plus qu’on ne demande aux Palestiniens avec quelles armes, ils doivent être massacrés, tout comme la question n’est pas posée aux Irakiens quand il a fallu aller voler leur pétrole et les exterminer comme cela se fait actuellement. Et peut-être demain au tour des iraniens. Seul compte le but poursuivi par l’adversaire pour qui, seuls ses intérêts comptent.  

 

    Hier non plus, l’avis des peuples Noirs mis en esclavage et ensuite colonisés n’a été demandé. L’occupant dont le seul langage est la violence est venu, a massacré, détruit, tué, pillé, exterminé sans se poser la question de savoir si cela plairait aux populations locales.  

 

    Tout comme les alliés n’avaient pas pris le temps de la réflexion de savoir si les Nazis seraient contents ou non d’être combattus par telles ou telles autres "armes". On les combattait parce que cela était nécessaire.  

 

    La logique de guerre ne consiste pas à attendre voire demander son aval à l’adversaire sur les méthodes à utiliser, seul compte le résultat de l’action. La poursuite de l’impératif. Les Noirs doivent cesser de penser du qu'en dira t-on (Les idéologues), dès qu'il s'agit de la défense de leurs droits et arrêter de dire qu'elle méthode plairait ou non. Toutes les méthodes sont bonnes, si elles concourent à la liberté.  

 

    Mais qu’est-ce qui fait donc que le préalable de toute action pour la défense de ses droits chez les Africains, soit de se demander si ses méthodes d’action plairaient à l’adversaire ? A-t-on jamais vu dans une guerre l’un des belligérants poser la question à l’autre sur le bien fondé de l’utilisation de telle arme ou méthode pour le combattre ?  

 

    Les Africains et les Afro-caribbéens de France n’ont peut-être pas encore compris que nous sommes en Guerre. En France la guerre est réellement ouverte, une guerre déclarée par le système, contre tous les descendants de l’Afrique. Mais on constate que les Africains et Afro caribéens attendent l’autorisation, le feu vert de l’oppresseur, pour se battre contre lui et poursuivre ce qui est un impératif : La défense de leurs droits.  

 

    Aujourd’hui il est assez facile de comprendre pourquoi certaines personnalités Noires sont combattues par l’adversaire qui, comme à son habitude, ne s’encombre pas de détails pour savoir s’il est bien ou moral pour le camp adverse (Noir) d’être terrassé par une méthode plutôt qu’une autre.  

 

     Casser les points visibles pour briser toute la     chaîne.  

 

    La technique a déjà été rodée puisque appliquée à maintes reprises. Atteindre les symboles et faire taire la masse.
   
Des courants de prise de conscience par les Africains nés ci et là à travers l’hexagone ont conduit à l’acceptation malgré elle, par la France, d’une loi certes vidée de sa substance, mais qui a l’unique mérite de la mettre face à une "vérité" qu’elle a toujours niée. Celle d’être une nation esclavagiste.
   
Il est évident que les idéologues et caciques du système ne sont pas encore remis de cette "capitulation rampante". Ce qui explique les tendances négationistes de par et d’autres de personnages comme Max Gallo, Finkielkraut, Hélène d’Encausse, Pétré de Grenouilleau et mêmes des insignifiants comme Eric Zemmour, Pascal sevran etc….bien sur avec la participation de voyous comme Pap Ndiaye, Beyala pour ne citer que ceux là, qui sont dans le déni perpétuel de la souffrance du Noir pour quelques miettes trouvées sur la table après le repas.
 

 

    Cette tendance négationniste et qui va aujourd’hui au-déla, en passant de l’intimidation à l’élimination physique des individus, a trouvé en la personne du président de la république actuel plus que celui du précédent quinquennat, un garant, un gage de la guerre que livre le système aux Noirs tout simplement.  

 

    Commencer par casser les individus influents d’une manière ou d’une autre pour paralyser toute la dynamique. Laquelle paralysie est suscitée par la peur sur laquelle compte le système pour taire à jamais et décourager les Noirs à se battre pour leurs droits. Ainsi le disait Malcom X à propos de cette peur : "L’homme blanc vous a donné la peur. Petits nourrissons noirs, vous aviez déjà peur de lui. La peur est sur vous. De tous les ennemis de l’homme, la peur est le plus redoutable. Je sais que certains d’entre vous ont peur d’apprendre la vérité. Vous avez grandi dans la peur et le mensonge. "  

 

    Hier, nous apprenions qu’une femme noire enceinte a été maltraitée par les éléments de la police nationale, la même qui porterait encore en son esprit et ses mains le sang de Lamine Dieng. Frédéric D. a été renversé par un bus (aucune enquête), Ange Mugeni tuée dans le train, Sylla, Komlanvi retrouvés morts dans des circonstances encore inélucidées etc.  

 

    Qu’avons-nous fait ? Rien et pourquoi ? Parce que nous avons peur et attendons que l’adversaire nous dise quand nous devons commencer à réagir.  

 

    Pourquoi cette peur est de plus en plus croissante ? Parce que ceux qui osaient ne pas attendre la permission de l’adversaire ont été "bousculés" et une fois de plus, sans que nous ayons eu le courage d’être derrière eux pour les soutenir. Nos peurs ont rejailli et nous avons renoncé à être aux côtés des nôtres lorsque nous ne les accablons pas.  

 

    Je me souviens d’un garçon nommé Kemi Seba qui, chaque fois qu’un Noir était maltraité, prenait son courage et allait demander des comptes. Mais qu’elle a été la réaction du système ? Elle a été de le broyer en se servant de nous. Le système nous a appris, nous a contraint à le qualifier d’extrémiste, de violent, et même à le lyncher.  

 

 

    Autant les tenants de l’Apartheid ne demandaient pas aux Autochtones (Noirs) qu’ils tuaient, si les méthodes pour les exterminer leur étaient convenables. La preuve le Docteur Wouten Basson coule de beaux jours on ne sait où. Ils agissaient et seul comptait le résultat de leur action.  

 

    Autant on n’a pas non plus demandé aux Amérindiens de quelle manière, ils souhaitaient être exterminés, pas plus qu’on ne demande aux Palestiniens avec quelles armes, ils doivent être massacrés, tout comme la question n’est pas posée aux Irakiens quand il a fallu aller voler leur pétrole et les exterminer comme cela se fait actuellement. Et peut-être demain au tour des iraniens. Seul compte le but poursuivi par l’adversaire pour qui, seuls ses intérêts comptent.  

 

    Hier non plus, l’avis des peuples Noirs mis en esclavage et ensuite colonisés n’a été demandé. L’occupant dont le seul langage est la violence est venu, a massacré, détruit, tué, pillé, exterminé sans se poser la question de savoir si cela plairait aux populations locales.  

 

    Tout comme les alliés n’avaient pas pris le temps de la réflexion de savoir si les Nazis seraient contents ou non d’être combattus par telles ou telles autres "armes". On les combattait parce que cela était nécessaire.  

 

    La logique de guerre ne consiste pas à attendre voire demander son aval à l’adversaire sur les méthodes à utiliser, seul compte le résultat de l’action. La poursuite de l’impératif. Les Noirs doivent cesser de penser du qu'en dira t-on (Les idéologues), dès qu'il s'agit de la défense de leurs droits et arrêter de dire qu'elle méthode plairait ou non. Toutes les méthodes sont bonnes, si elles concourent à la liberté.  

 

    Mais qu’est-ce qui fait donc que le préalable de toute action pour la défense de ses droits chez les Africains, soit de se demander si ses méthodes d’action plairaient à l’adversaire ? A-t-on jamais vu dans une guerre l’un des belligérants poser la question à l’autre sur le bien fondé de l’utilisation de telle arme ou méthode pour le combattre ?  

 

    Les Africains et les Afro-caribéens de France n’ont peut-être pas encore compris que nous sommes en Guerre. En France la guerre est réellement ouverte, une guerre déclarée par le système, contre tous les descendants de l’Afrique. Mais on constate que les Africains et Afro caribéens attendent l’autorisation, le feu vert de l’oppresseur, pour se battre contre lui et poursuivre ce qui est un impératif : La défense de leurs droits.  

 

    Aujourd’hui il est assez facile de comprendre pourquoi certaines personnalités Noires sont combattues par l’adversaire qui, comme à son habitude, ne s’encombre pas de détails pour savoir s’il est bien ou moral pour le camp adverse (Noir) d’être terrassé par une méthode plutôt qu’une autre.  

 

     Casser les points visibles pour briser toute la     chaîne.  

 

    La technique a déjà été rodée puisque appliquée à maintes reprises. Atteindre les symboles et faire taire la masse.
   
Des courants de prise de conscience par les Africains nés ci et là à travers l’hexagone ont conduit à l’acceptation malgré elle, par la France, d’une loi certes vidée de sa substance, mais qui a l’unique mérite de la mettre face à une "vérité" qu’elle a toujours niée. Celle d’être une nation esclavagiste.
   
Il est évident que les idéologues et caciques du système ne sont pas encore remis de cette "capitulation rampante". Ce qui explique les tendances négationistes de par et d’autres de personnages comme Max Gallo, Finkielkraut, Hélène d’Encausse, Pétré de Grenouilleau et mêmes des insignifiants comme Eric Zemmour, Pascal sevran etc….bien sur avec la participation de voyous comme Pap Ndiaye, Beyala pour ne citer que ceux là, qui sont dans le déni perpétuel de la souffrance du Noir pour quelques miettes trouvées sur la table après le repas.
 

 

    Cette tendance négationniste et qui va aujourd’hui au-déla, en passant de l’intimidation à l’élimination physique des individus, a trouvé en la personne du président de la république actuel plus que celui du précédent quinquennat, un garant, un gage de la guerre que livre le système aux Noirs tout simplement.  

 

    Commencer par casser les individus influents d’une manière ou d’une autre pour paralyser toute la dynamique. Laquelle paralysie est suscitée par la peur sur laquelle compte le système pour taire à jamais et décourager les Noirs à se battre pour leurs droits. Ainsi le disait Malcom X à propos de cette peur : "L’homme blanc vous a donné la peur. Petits nourrissons noirs, vous aviez déjà peur de lui. La peur est sur vous. De tous les ennemis de l’homme, la peur est le plus redoutable. Je sais que certains d’entre vous ont peur d’apprendre la vérité. Vous avez grandi dans la peur et le mensonge. "  

 

    Hier, nous apprenions qu’une femme noire enceinte a été maltraitée par les éléments de la police nationale, la même qui porterait encore en son esprit et ses mains le sang de Lamine Dieng. Frédéric D. a été renversé par un bus (aucune enquête), Ange Mugeni tuée dans le train, Sylla, Komlanvi retrouvés morts dans des circonstances encore inélucidées etc.  

 

    Qu’avons-nous fait ? Rien et pourquoi ? Parce que nous avons peur et attendons que l’adversaire nous dise quand nous devons commencer à réagir.  

 

    Pourquoi cette peur est de plus en plus croissante ? Parce que ceux qui osaient ne pas attendre la permission de l’adversaire ont été "bousculés" et une fois de plus, sans que nous ayons eu le courage d’être derrière eux pour les soutenir. Nos peurs ont rejailli et nous avons renoncé à être aux côtés des nôtres lorsque nous ne les accablons pas.  

 

    Je me souviens d’un garçon nommé Kemi Seba qui, chaque fois qu’un Noir était maltraité, prenait son courage et allait demander des comptes. Mais qu’elle a été la réaction du système ? Elle a été de le broyer en se servant de nous. Le système nous a appris, nous a contraint à le qualifier d’extrémiste, de violent, et même à le lyncher.  

 

    Mais quelle est donc la violence de Kemi Seba face à celle que les Noirs subissent par ce système ? Quel est donc son extrémisme comparé à celui du système ? Y’a-t-il un seul fait de sa violence connu comparé aux faits de violence du système ? Il fallait le casser de peur à ce qu’il fasse des émules, en le cassant on paralyse la mécanique, la conscience de la lutte pour les droits. Cette lutte que nous refusons de mener parce que l’adversaire ne va pas apprécier.  

 

    Mais ce que les Noirs semblent ignorer c’est que le système ne fait aucune différence, il broie tout ce pour lequel il est programmé pour faire disparaître. Traîtres comme activistes, pseudo violents ou modérés. N’a-t-on pas tué Martin Luther King pourtant réputé non violent par rapport à Malcom X ?  

 

    Tant que nous utiliserons le vocabulaire de ce système, nous resterons à sa merci et ne reconnaîtrons jamais qu’il est en guerre contre nous, en se cachant derrière des concepts tels: le droit, la démocratie, la liberté, l'égalité, la fraternité, la république. En guerre on se pose pas la question de savoir si l’adversaire appréciera ou non nos armes, on agit comme lui en ne s’identifiant pas à lui et en l’identifiant comme il vous identifie c’est-à-dire un ennemi.  

Mais quelle est donc la violence de Kemi Seba face à celle que les Noirs subissent par ce système ? Quel est donc son extrémisme comparé à celui du système ? Y a-t-il un seul fait de sa violence connu comparé aux faits de violence du système ? Il fallait le casser de peur à ce qu’il fasse des émules, en le cassant on paralyse la mécanique, la conscience de la lutte pour les droits. Cette lutte que nous refusons de mener parce que l’adversaire ne va pas apprécier.  

 

    Mais ce que les Noirs semblent ignorer c’est que le système ne fait aucune différence, il broie tout ce pour lequel il est programmé pour faire disparaitre. Traitres comme activistes, pseudo violents ou modérés. N’a-t-on pas tué Martin Luther King pourtant réputé non violent par rapport à Malcom X ?  

 

    Tant que nous utiliserons le vocabulaire de ce système, nous resterons à sa merci et ne reconnaîtrons jamais qu’il est en guerre contre nous, en se cachant derrière des concepts tels: le droit, la démocratie, la liberté, l'égalité, la fraternité, la république. En guerre on se pose pas la question de savoir si l’adversaire appréciera ou non nos armes, on agit comme lui en ne s’identifiant pas à lui et en l’identifiant comme il vous identifie c’est-à-dire un ennemi.  

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Commentaires
G
Tout a fait d'accord avec toi...beaucoup de noirs,devraient prendre exemple sur les autres "communautes" a savoir meme si l'on ne partage pas les idees d'un des notres (kemi seba,dieudonne enfin ceux qui se battent a leurs facons pour le reveil de la communaute noire dans cette "REPUBLIQUE" a la francaise),des qu'un coup est porte a l'un d'eux,c'est un coup porte a l'ensemble de la communaute...mais etre totalement indifferant faces a ceux de cette meme communaute qui ont choisi tres clairement leur camp (beyala et le mr qui ne mange pas de manioc...LONGUE VIE a ton nouveau blog...gus
MBOA
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