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MBOA
12 novembre 2007

Mettre à nu tous les traîtres de la communauté

Une erreur de manipulation a fait que le premier message a été supprimé. Nous vous demandons pardon et le reprenons ci-dessous.
Sans me prononcer sur le bien fondé, ni juger qui que ce soit dans cette affaire précise, ( ce qui est le travail de la justice, qui suit son cours), je suis d'avis que les comportements dignes des bandits d'où qu'ils viennent, doivent être fustigés, car contribuent à affaiblir la cause et rendre davantage vulnérable les Noirs.
Je publie donc ce message reçu dans ma messagerie par le sieur OKILI, en laissant à chacun de se faire son opinion. Mon rôle se limite donc à publier ce que je juge publiable, sans y apporter mon jugement personnel dans la dite affaire.

Affaire Mézépo

Il y a quelques jours, j’ai demandé à me désinscrire de la liste de diffusion d’AfricaMaat parce que je ne souhaite plus recevoir des informations de leur part.  Je reçois depuis lors une avalanche de mails de faux-culs. J’ai décidé d’attirer l’attention de tout le monde une fois pour toute sur les inconséquences des uns et des autres.

Depuis 2 ans nous assistons au énième délitement de la communauté noire de France à cause, entre autres, de l’affaire Ménaibuc ou plutôt Salomon Mézépo, tant elle tourne plus autour des pratiques de cet individu (pour la petite histoire, un des anagrammes de Salomon c’est… Monsalo. ça ne s’invente pas !).

Des auteurs reprochent à leur éditeur le non-paiement de leurs droits. Des conciliations ont été tentées, dont une par le Pr Obenga. Elles ont toutes échoué… Notamment parce que le sieur Salomon Mézépo n’a jamais respecté ses engagements. Le respect de la parole donnée est un ovni sans son échelle des valeurs, à ce qu’il paraît.

Devant la fuite en avant des noirs de France, si prompts à donner des leçons au monde entier mais très frileux lorsqu’il s’agit de prendre leurs responsabilités, quatre d’entre eux ont engagé une procédure judicaire contre leur éditeur, Salomon Mézépo. Ils ont gagné en Première Instance. L’éditeur a interjeté appel de cette décision.  Par mesure de représailles il poursuit l’un des quatre auteurs pour diffamation. Ce qui laisse dubitatif lorsqu’on apprend qu’il veut défendre un supposé honneur. Si ce n’était pas aussi sérieux, nous aurions envie d’en rire. La schizophrénie guette au coin de la rue. Mais c’est tout de même son droit.

Ce qui l’est moins, c’est le flou artistique qu’il entretient sur la rémunération des auteurs. Combien de livres a-t-il imprimés ? Combien en a-t-il vendus ? Quelle rémunération a-t-il versé à chaque auteur ? Sur la base de quel contrat ? Toutes ces questions objectives restent sans réponse. Pour ma part, on défend son honneur en portant des valeurs et en respectant la propriété intellectuelle de ses auteurs – tout travail méritant salaire - non pas en réagissant à l’opprobre qui s’abattra bientôt sur les responsables de faits à propos desquels la justice a déjà statué et persistera. Lorsqu’on a un honneur à défendre on ne se comporte pas comme une « petite frappe ». On respecte la femme noire !

Crime de lèse délinquant ! « Le linge sale doit se laver en famille », crient en cœur les hypocrites et autres bouseux, tapis comme toujours dans les arrière-cours de combinaisons pour mieux flouer leur petit monde. Qu’ont-ils fait pour régler ce différend depuis qu’il gangrène notre communauté ? Et puis de quelle famille parle-t-on ? La communauté noire est transparente en France (un ersatz  d’opportunistes, d’affairistes, prêts à vendre père et mère pour une place à la droite du négrier), infiltrée de toutes parts par ceux qui nous dénient le droit à une quelconque humanité. Souvent même, leurs sbires sont ceux qui tiennent le haut du pavé dans la communauté. Nous devons plutôt militer pour un déballage public, parce que dans le public, seuls les noirs sont les plus mal informés. Les autres en face ont l’information à la seconde près par l’entremise de leurs féaux qui pullulent parmi nous.

Cette énième vanité du sieur Salomon Mézépo aura au moins le mérite de clarifier les choses et de mettre à nu les incohérences d’un certain nombre d’énergumènes, les médiocres en tout et en chaque chose, cooptés pour cette compétence-là, et qui ont fait de la misère de leur propre communauté leur vache à lait ou leur ascenseur social. C’est selon... Ils crieront au loup. Les faits leur rétorqueront que se servir de la misère de sa communauté pour défendre des intérêts strictement égoïstes, c’est très préjudiciable à sa « famille ».

son de cloche : « Ce qui nous unit est plus fort que ce qui nous divise », ont coutume de dire certains. Cette assertion est irrecevable dans le cas d’espèce, parce qu’elle profite principalement aux malfrats qui comptent sur le silence de leurs victimes pour escroquer en toute quiétude et en toute impunité. Lorsqu’on n’a rien à se reprocher on ne doit pas craindre la transparence. Sauf si celle-ci peut être préjudiciable à nos vices, à nos petites vertus ou aux casseroles que nous trimballons. La vérité n’a peur de rien. Seul le voyou la craint.

Il est curieux de constater que quelques individus dans la communauté entreprennent des activités délictueuses sans être pour autant inquiétés, alors que d’autres passent le clair de leur temps devant les tribunaux pour moins que ça. Ce sont des interrogations qu’il est légitime d’avoir. Il faut démasquer tous ces imposteurs mandatés pour nous empêcher d’avoir toute velléité de prise en mains de nos destins.

Tant que nous ne bannirons pas de nos rangs les brebis galeuses, toute tentative d’organisation est vaine. C’est un principe de réalité qui s’impose à nous comme à tout groupe d’intérêts. Nous ne sommes pas en reste. Refuser d’aborder cette question c’est cautionner par le fait la délinquance des crève-la-faim qui nous retardent dans notre émancipation.

Nous pouvons commencer par exemple par un travail de recension des associations et de personnalités noires de France. Ensuite, faire un bilan de toutes leurs actions depuis 5, 10, 15 ans. Qu’ont-elles apporté pour l’amélioration de nos conditions d’existence. Qu’ont-elles tiré de leur semblant engagement ? Ce simple travail nous éclairera sur les réelles intentions des uns et des autres. Devant leur échec nous sommes en droit de leur demander : qui vous a fait rois ou princes ?

 Ceux qui veulent intimider Pierre Nillon en seront pour leurs frais. Ils nous donnent l’opportunité de faire le procès d’une certaine nébuleuse noire aux soubassements d’une secte dont elle s’inspire pour se reproduire ou à défaut, excommunier. Cette action aura le mérite de lever toutes les zones d’ombre qui entourent cette affaire. Chaque noir devra se déterminer en son âme et conscience. Fini la politique de l’autruche. Pour ma part je soutiendrai Nillon. Il faut donner un coup de pied dans la fourmilière. Puis « écraser » ces bestioles. De là naîtra peut-être enfin quelque chose de viable.

Sur ce, je leur adresse mon profond mépris et beaucoup de courage… pour le calvaire qui sera le leur dès maintenant.

A bientôt devant les prétoires !

Okili

 

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Commentaires
R
Qui sont les loups? <br /> Les Violeurs et Voleurs de la femme Noire ou ceux qui dénoncent ces pratiques?
R
Qui sont les loups? <br /> Les Violeurs et Voleurs de la femme Noire ou ceux qui dénoncent ces pratiques?
G
Apres avoir lu cette lettre,je suis de tout coeur avec Mr OKILI et,dis qu'il faudrait meme aller plus loin...A savoir comme cela a ete propose plus haut,faire une liste de tous ces faux-culs,ces "bountis" et j'ai meme les noms avec lesquels cette liste devrait commencer: RAMA (TOULAY,entre parentheses car,d'apres elle ca fait plus francais...alienation quand tu nous tiens!),CALIXTE BAYALA,pour ne citer que ces deux C........!Pour ce qui est des hommes,commencons par le plus pathetique de tous,l'homme qui n'aimait pas le manioc,GASTON KELMAN,DOMINIQUE SOPO,PATRICK LOZES etc,etc...Mais j'en suis sur,d'autres noms vous viennent a l'esprit...Et faudrait aussi commencer a leur mettre la pression...et pas que verbale...GUS
M
Joss,<br /> <br /> Je pense que vous posez la bonne question et la réponse à celle-ci est déterminante pour notre cause: l'émancipation.<br /> Avons-nous donc peur de la lumière ?
J
Lorsqu'il s'agit de regarder au loin ou à côté les problèmes des autres nous sommes attentifs, l'esprit critique, partisans ou opposants mais nous essayons de comprendre !<br /> Quand des éléments fondamentaux, causes de notre stagnation ou de notre recul sont devant nos yeux nous ne cherchons pas à comprendre, à vérifier, à prendre position pour guérir nos maux. Nous fermons les yeux et bouchons nos oreilles.<br /> C'est ce mur que nous devons briser si notre volonté est bien l'émancipation de l'enfant, la femme et l'homme noir !<br /> Joss Rovélas
MBOA
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