Mettre à nu tous les traîtres de la communauté
Une erreur de manipulation a fait que le premier message a été supprimé. Nous vous demandons pardon et le reprenons ci-dessous.
Sans me prononcer sur le bien fondé, ni juger qui que ce soit dans cette affaire précise, ( ce qui est le travail de la justice, qui suit son cours), je suis d'avis que les comportements dignes des bandits d'où qu'ils viennent, doivent être fustigés, car contribuent à affaiblir la cause et rendre davantage vulnérable les Noirs.
Je publie donc ce message reçu dans ma messagerie par le sieur OKILI, en laissant à chacun de se faire son opinion. Mon rôle se limite donc à publier ce que je juge publiable, sans y apporter mon jugement personnel dans la dite affaire.
Affaire Mézépo
Il y a quelques jours, j’ai demandé à me désinscrire de la liste de
diffusion d’AfricaMaat parce que je ne souhaite plus recevoir des informations
de leur part. Je reçois depuis lors une avalanche de mails de faux-culs.
J’ai décidé d’attirer l’attention de tout le monde une fois pour toute sur les
inconséquences des uns et des autres.
Depuis 2 ans nous assistons au énième délitement de la communauté
noire de France à cause, entre autres, de l’affaire Ménaibuc ou plutôt Salomon
Mézépo, tant elle tourne plus autour des pratiques de cet individu (pour la
petite histoire, un des anagrammes de Salomon c’est… Monsalo. ça ne s’invente pas !).
Des auteurs reprochent à leur éditeur le non-paiement de leurs
droits. Des conciliations ont été tentées,
dont une par le Pr Obenga. Elles ont toutes échoué… Notamment parce
que le sieur Salomon Mézépo n’a jamais respecté ses engagements. Le respect de
la parole donnée est un ovni sans son échelle des valeurs, à ce qu’il paraît.
Devant la fuite en avant des noirs de France, si prompts à donner
des leçons au monde entier mais très frileux lorsqu’il s’agit de prendre leurs
responsabilités, quatre d’entre eux ont engagé une procédure judicaire contre
leur éditeur, Salomon Mézépo. Ils ont gagné en Première Instance. L’éditeur a
interjeté appel de cette décision. Par mesure de représailles il poursuit
l’un des quatre auteurs pour diffamation. Ce qui laisse dubitatif lorsqu’on
apprend qu’il veut défendre un supposé honneur. Si ce n’était pas aussi
sérieux, nous aurions envie d’en rire. La schizophrénie guette au coin de
la rue. Mais c’est tout de
même son droit.
Ce qui l’est moins, c’est le flou artistique qu’il entretient sur la
rémunération des auteurs. Combien de livres
a-t-il imprimés ? Combien en a-t-il vendus ? Quelle rémunération
a-t-il versé à chaque auteur ? Sur la base de quel contrat ?
Toutes ces questions objectives restent sans réponse. Pour ma part, on défend
son honneur en portant des valeurs et en respectant la propriété intellectuelle
de ses auteurs – tout travail méritant salaire - non pas en réagissant à
l’opprobre qui s’abattra bientôt sur les responsables de faits à propos
desquels la justice a déjà statué et persistera. Lorsqu’on a un honneur à
défendre on ne se comporte pas comme une « petite frappe ». On
respecte la femme noire !
Crime de lèse délinquant ! « Le linge sale doit se laver en famille », crient en cœur
les hypocrites et autres bouseux, tapis comme toujours dans les arrière-cours
de combinaisons pour mieux flouer leur petit monde. Qu’ont-ils fait pour régler
ce différend depuis qu’il gangrène notre communauté ? Et puis de
quelle famille parle-t-on ? La communauté noire est transparente en France
(un ersatz d’opportunistes, d’affairistes, prêts à vendre père et mère
pour une place à la droite du négrier), infiltrée de toutes parts par ceux qui
nous dénient le droit à une quelconque humanité. Souvent même, leurs sbires
sont ceux qui tiennent le haut du pavé dans
la communauté. Nous
devons plutôt militer pour un déballage public, parce que dans le public, seuls
les noirs sont les plus mal informés. Les autres en face ont l’information à la
seconde près par l’entremise de leurs féaux qui pullulent parmi nous.
Cette énième vanité du sieur Salomon Mézépo aura au moins le mérite
de clarifier les choses et de mettre à nu les incohérences d’un certain nombre
d’énergumènes, les médiocres en tout et en chaque chose, cooptés pour cette
compétence-là, et qui ont fait de la misère de leur propre communauté leur
vache à lait ou leur ascenseur social. C’est selon... Ils crieront au loup. Les
faits leur rétorqueront que se servir de la misère de sa communauté pour
défendre des intérêts strictement égoïstes, c’est très préjudiciable à sa
« famille ».
son de cloche : « Ce
qui nous unit est plus fort que ce qui nous divise », ont
coutume de dire certains. Cette assertion est irrecevable dans le cas d’espèce,
parce qu’elle profite principalement aux malfrats qui comptent sur le silence
de leurs victimes pour escroquer en toute quiétude et en toute impunité.
Lorsqu’on n’a rien à se reprocher on ne doit pas craindre
la transparence. Sauf
si celle-ci peut être préjudiciable à nos vices, à nos petites vertus ou aux casseroles
que nous trimballons. La vérité n’a peur de rien. Seul le voyou la craint.
Il est curieux de constater que quelques individus dans la
communauté entreprennent des activités délictueuses sans être pour autant
inquiétés, alors que d’autres passent le clair de leur temps devant les
tribunaux pour moins que ça. Ce sont des interrogations qu’il est légitime
d’avoir. Il faut démasquer tous ces imposteurs mandatés pour nous empêcher
d’avoir toute velléité de prise en mains de nos destins.
Tant que nous ne bannirons pas de nos rangs les brebis galeuses,
toute tentative d’organisation est vaine. C’est un principe de réalité qui
s’impose à nous comme à tout groupe d’intérêts. Nous ne sommes pas en reste.
Refuser d’aborder cette question c’est cautionner par le fait la délinquance
des crève-la-faim qui nous retardent dans notre émancipation.
Nous pouvons commencer par exemple par un travail de recension des
associations et de personnalités noires de France. Ensuite, faire un bilan de
toutes leurs actions depuis 5, 10, 15 ans. Qu’ont-elles apporté pour
l’amélioration de nos conditions d’existence. Qu’ont-elles tiré de leur
semblant engagement ? Ce simple travail nous éclairera sur les réelles
intentions des uns et des autres. Devant leur échec nous sommes en droit de
leur demander : qui vous a fait rois ou princes ?
Ceux qui veulent intimider Pierre Nillon en seront pour leurs
frais. Ils nous donnent l’opportunité de faire le procès d’une certaine nébuleuse
noire aux soubassements d’une secte dont elle s’inspire pour se reproduire ou à
défaut, excommunier. Cette action aura le mérite de lever toutes les zones
d’ombre qui entourent cette affaire. Chaque noir devra se déterminer en son âme
et conscience. Fini la politique de l’autruche. Pour ma part je soutiendrai
Nillon. Il faut donner un coup de pied dans
la fourmilière. Puis
« écraser » ces bestioles. De là naîtra peut-être enfin quelque chose
de viable.
Sur ce, je leur adresse mon profond mépris et beaucoup de courage…
pour le calvaire qui sera le leur dès maintenant.
A bientôt devant les prétoires !
Okili